dossier les mosaiques gallo-romaines
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dossier les mosaiques gallo-romaines
petit dossier que je vais allimenter au fure et a mesure
la mosaique est un art majeur dans la culture gallo-romaine
elle montrait la puissance du proprietaire de la villa et embellissait les terme
voici deja un lien de musée reprensentant une gigantesque mosaique sur les 4 saisons
http://jfbradu.free.fr/mosaiques/gallo-romaines/st-rom-gal/st-rom-gal.htm
la mosaique est un art majeur dans la culture gallo-romaine
elle montrait la puissance du proprietaire de la villa et embellissait les terme
voici deja un lien de musée reprensentant une gigantesque mosaique sur les 4 saisons
http://jfbradu.free.fr/mosaiques/gallo-romaines/st-rom-gal/st-rom-gal.htm
definition
voici deja la definition (source wikipedia)
La mosaïque est un art décoratif où l'on utilise des fragments de pierre, d'émail, de verre ou encore de céramique, assemblés à l'aide de mastic ou d'enduit, pour former des motifs ou des figures. Quel que soit le matériau utilisé, ces fragments sont appelés des tesselles.
La découpe
On utilise généralement pour tailler les tesselles, soit la marteline, soit deux types de pinces spéciales, appelées respectivement pinces japonaises, qui ont la particularité de ne pas se joindre à leur extrémité, et les pinces à mollettes.
Les supports
Le support le plus courant est le mortier (sable et ciment) en raison de son faible coût et de son adaptation à différents environnements. On pose sur le mur un grillage, puis une couche de mortier d'au moins 13 mm d'épaisseur, ce qui protège la mosaïque des fissures.
On peut également trouver d'autres supports comme le bois (on le rend hydrofuge grâce à un traitement chimique, ou en le plongeant dans de l'huile bouillante), le verre, les fibres de bois pressées et collées(époque contemporaine), ou le contreplaqué (époque contemporaine)...
Les colles
Elles sont multiples. La plus utilisée est sans doute le mortier : applicable sur toutes les surfaces, on peut lui ajouter de la chaux pour ralentir le temps de prise.
On utilise également des colles à base de ciment, qui sont conçues en fonction du support, avec différents temps de prise. L'usage des deux types de colle blanche (normale et hydrosoluble) est également fréquent. Enfin, à l'époque contemporaine, on constate l'utilisation de colle silicone.
L'assemblage
la méthode directe : c'est la plus simple et la plus rapide des trois méthodes. Après avoir effectué un dessin au fusain sur le support, on applique une couche peu épaisse de colle sur les zones à travailler. On dispose d'abord les tesselles les plus grosses, puis on insère les plus petites; cette disposition se fait de l'extérieur vers l'intérieur. Ensuite on applique une couche de ciment (pour faire les joints entre les tesselles) que l'on nettoie après séchage.
la méthode indirecte : on colle les tesselles à l'envers sur un support provisoire, pour obtenir une surface plane. Puis on colle le tout sur le support définitif, et on enlève le fond provisoire. Le support provisoire préconisé dans les livres d'initiation à la mosaïque est très souvent le papier kraft. Cependant, ce type de papier est parfois sensible à la colle hydrosoluble et gondole. Les tesselles se trouvant sur les bosses vont ainsi se retrouver dans les creux lorsqu'on aura retourné et collé l'ensemble sur le support définitif. Le voile de polyester non étanche, étant totalement insensible à la colle hydrosoluble, permet d'obtenir des résultats proches de la planéité. De plus, son décollement est facilité par le fait que l'eau contenue dans le joint ou le ciment colle détrempe la colle hydrosoluble répartie sur le voile
La mosaïque est un art décoratif où l'on utilise des fragments de pierre, d'émail, de verre ou encore de céramique, assemblés à l'aide de mastic ou d'enduit, pour former des motifs ou des figures. Quel que soit le matériau utilisé, ces fragments sont appelés des tesselles.
La découpe
On utilise généralement pour tailler les tesselles, soit la marteline, soit deux types de pinces spéciales, appelées respectivement pinces japonaises, qui ont la particularité de ne pas se joindre à leur extrémité, et les pinces à mollettes.
Les supports
Le support le plus courant est le mortier (sable et ciment) en raison de son faible coût et de son adaptation à différents environnements. On pose sur le mur un grillage, puis une couche de mortier d'au moins 13 mm d'épaisseur, ce qui protège la mosaïque des fissures.
On peut également trouver d'autres supports comme le bois (on le rend hydrofuge grâce à un traitement chimique, ou en le plongeant dans de l'huile bouillante), le verre, les fibres de bois pressées et collées(époque contemporaine), ou le contreplaqué (époque contemporaine)...
Les colles
Elles sont multiples. La plus utilisée est sans doute le mortier : applicable sur toutes les surfaces, on peut lui ajouter de la chaux pour ralentir le temps de prise.
On utilise également des colles à base de ciment, qui sont conçues en fonction du support, avec différents temps de prise. L'usage des deux types de colle blanche (normale et hydrosoluble) est également fréquent. Enfin, à l'époque contemporaine, on constate l'utilisation de colle silicone.
L'assemblage
la méthode directe : c'est la plus simple et la plus rapide des trois méthodes. Après avoir effectué un dessin au fusain sur le support, on applique une couche peu épaisse de colle sur les zones à travailler. On dispose d'abord les tesselles les plus grosses, puis on insère les plus petites; cette disposition se fait de l'extérieur vers l'intérieur. Ensuite on applique une couche de ciment (pour faire les joints entre les tesselles) que l'on nettoie après séchage.
la méthode indirecte : on colle les tesselles à l'envers sur un support provisoire, pour obtenir une surface plane. Puis on colle le tout sur le support définitif, et on enlève le fond provisoire. Le support provisoire préconisé dans les livres d'initiation à la mosaïque est très souvent le papier kraft. Cependant, ce type de papier est parfois sensible à la colle hydrosoluble et gondole. Les tesselles se trouvant sur les bosses vont ainsi se retrouver dans les creux lorsqu'on aura retourné et collé l'ensemble sur le support définitif. Le voile de polyester non étanche, étant totalement insensible à la colle hydrosoluble, permet d'obtenir des résultats proches de la planéité. De plus, son décollement est facilité par le fait que l'eau contenue dans le joint ou le ciment colle détrempe la colle hydrosoluble répartie sur le voile
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