la chanson nous n'irons plus au bois les lauriers sont coupés
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la chanson nous n'irons plus au bois les lauriers sont coupés
cette chanson a été crée au temps de Louis XIV au moment de la creation du chateau de Versailles
30 000 ouvriers 20 000 soldats ainsi qu'une armada de prostitué qui exercaient dans les jardins
Louis XIV ne souhaitant pas prendre de retard du fait des maladies amenées par les prostitués les chassa du jardin, elles officierent donc dans des maisons facilement visible par des lauriers accrochés au balcons et fenetres
nouvelle ordonnance de chasser encore plus loin les prostituées sous peine pour elles comme les clients qu'on leur coupe le nez et les oreilles
donc fini les filles de joies dans les bois et les maisons
jpierre
30 000 ouvriers 20 000 soldats ainsi qu'une armada de prostitué qui exercaient dans les jardins
Louis XIV ne souhaitant pas prendre de retard du fait des maladies amenées par les prostitués les chassa du jardin, elles officierent donc dans des maisons facilement visible par des lauriers accrochés au balcons et fenetres
nouvelle ordonnance de chasser encore plus loin les prostituées sous peine pour elles comme les clients qu'on leur coupe le nez et les oreilles
donc fini les filles de joies dans les bois et les maisons
jpierre
paroles
voici les paroles de la chanson
Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés.
Les Amours des bassins, les Naïades en groupe
Voient reluire au soleil en cristaux découpés
Les flots silencieux qui coulaient de leur coupe.
Les lauriers sont coupés, et le cerf aux abois
Tressaille au son du cor; nous n'irons plus au bois,
Où des enfants charmants riait la folle troupe
Sous les regards des lys aux pleurs du ciel trempés,
Voici l'herbe qu'on fauche et les lauriers qu'on coupe.
Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés.
Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés.
Les Amours des bassins, les Naïades en groupe
Voient reluire au soleil en cristaux découpés
Les flots silencieux qui coulaient de leur coupe.
Les lauriers sont coupés, et le cerf aux abois
Tressaille au son du cor; nous n'irons plus au bois,
Où des enfants charmants riait la folle troupe
Sous les regards des lys aux pleurs du ciel trempés,
Voici l'herbe qu'on fauche et les lauriers qu'on coupe.
Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés.
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